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Solo soy un bandido - Al
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Alvaro Garcia
Alvaro Garcia
ORCHIDEE

❖ MESSAGES : 272
❖ AVATAR : D.J Cotrona
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"La gente te dicen que yo solo soy un bandido, que yo soy de la calle, que tu corres peligro "

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MessageSolo soy un bandido  - Al EmptyJeu 2 Fév - 1:09

 
Alvaro Garcia
35 ans ● Américain d'origine mexicaine et colombienne ● Mécanicien auto ● Ancien de la MS13 ● South Bronx ● Regular Citizens


Alvaro a toujours assumé ses choix, il a toujours décidé d’être un homme et de ne pas cracher sur ce qu’il était et ce qui a fait de lui ce qu’il est aujourd’hui. Sans les membres de son gang, il aurait sans doute eu une vie beaucoup plus difficile. Il n’était pas doué pour l’école et de toute façon, il n’y aurait eu personne pour lui pousser au cul, sa mère était lessivée par ses longues journées et ses trois boulots, se retrouvant seule à assumer la maison depuis la mort accidentelle de son mari, quant à ses frères et sœurs, nombreux, ils faisaient ce qu’ils pouvaient pour s’en sortir. Etant l’aîné, il choisit de prendre le mauvais chemin pensant aider sa mère. Son casier est un joli florilège de saloperies en tous genres mais il n’a pas honte. Il a purgé sa peine pendant 5 ans, s’étant fait choper pour un truc de merde, grâce à Dieu, ce ne fut pas pour meurtre. Mais ce fut suffisant pour que Mariella mette les voiles, abandonnant leurs deux enfants à madame Garcia pour se trouver un autre enfoiré qui lui paierait sa dose et se satisferait en tapant dedans à l’occasion. Aujourd’hui, il a décidé de se ranger, de se reconstruire et de faire les choses correctement pour Reya et Estrella. Il n’est pas question de retomber et de les abandonner. Sa mère n’a plus l’âge d’élever des enfants, surtout pas ceux qui ne sont pas les siens. Il se lève tous les matins à l’aube pour aller courir et évacuer sa rage, celle qui l’agite à longueur de journée et devient parfois irrépressible. Il conduit lui-même ses filles à l’école et puis va travailler. Ses habitudes le sécurisent alors qu’il a encore du mal avec la vie en liberté, il doit tout réapprendre et six mois, c’est trop juste pour oublier la prison. Amateur de cigares, il s’en offre un par mois mais un bon. Il est doué de ses mains et peut absolument tout réparer. Il est également terriblement minutieux, dingue pour un type de son envergure mais pourtant vrai. C’est un artiste, il a un don de Dieu, il dessine aussi bien qu’il danse. Ce n’est pas peu dire, c’est comme ça qu’il arrive à serrer quelques gonzesses quand il a besoin de se libérer un peu de ce qui pèse sur ses épaules.  
- NY, South Bronx. Il n'irait vivre nulle part ailleurs, il adore l'ambiance de cette ville et pour lui, les strass ne se trouvent pas à Broadway mais bel et bien dans les quartiers pauvres de la ville. L'ambiance, les odeurs, la langue et toutes ces petites choses qui lui donnent l'impression d'être chez lui. Oh, ce n'est pas le paradis, contrairement à ce que le nom de la ville tenterait de vous faire croire mais pour lui, c'est des souvenirs et toute sa vie.



derrière l'écran
PSEUDO ● Daturagnagna AGE ● 27 ans FILLE OU MEC ● F  PRESENCE 7/7  DE QUEL PAYS TU VIENS ● From Hell Tu nous connais d'où ? ● Fonda bitch SCENARIO OU INVENTE ● Scénar  AVATAR ● DJ CotronaCRÉDIT ● Tumblr et Datura



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Alvaro Garcia
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MessageSolo soy un bandido  - Al EmptyJeu 2 Fév - 1:12





this is who you are

( in this story you are the hero )

Traîner avec les mauvaises personnes, l’histoire de sa vie. Perdre son père trop jeune avait été un choc difficile à encaisser et il n’eut de cesse de chercher des modèles masculins auxquels s’identifier, tout en se prenant pour l’homme de la maison parce que c’était l’aîné et qu’il devait bien endosser le rôle que son père avait abandonné trop tôt. Il aurait pu faire ça en redoublant d’effort à l’école, en devenant quelqu’un pour que sa mère ait un souci de moins sur les bras mais il choisit le chemin de l’illégalité. Un an plus tard, il était déjà en maison de correction jusqu’à sa majorité, père d’une gamine qu’il avait faite avec une connasse aussi irresponsable que lui dont il s’était si bien entichée qu’ils ne se quittaient plus. Gloria était belle et impétueuse, ils se disputaient, se battaient et baisaient dans la foulée, c’était leur façon de communiquer et ils étaient sacrément doués pour ça.  Elle l’aurait suivi jusqu’en enfer et elle fut là à sa sortie de sa prison pour mineurs quand il en sortit à sa majorité, elle et Estrella, leur petite fille qui ressemblait déjà à son paternel et dont sa mère avait pris soin comme la prunelle de ses yeux. Gloria fut l’une des victimes collatérales du choix de vie d'Alvaro. Lors d’un règlement de comptes entre gang, elle se retrouva dans la ligne de mire, on voulait faire payer à son type et elle était la meilleure façon de lui faire passer un message. Le quartier fut un véritable champ de bataille les mois suivants. On lui avait pris son âme sœur, sa moitié, celle qui comprenait et aimait sa folie et il ne s’en remit jamais vraiment, chérissant pourtant ce qui résulta de cet amour inconditionnel. Malgré tout l’amour qu’il portait à sa fille, il n’arrêta pas pour autant ses conneries et ramassa une paumée, junkie de surcroît, qui finit par partager son quotidien et servit d’exemple – ou presque- à sa gamine. Mira était une perdue, un cas désespéré mais elle lui donnait l’impression de lui être essentiel et il ne manquait jamais une occasion de se rendre indispensable quand il ne la disciplinait pas, parfois complètement ivre ou défoncé, autant qu’elle. C’était le revers de la médaille de la vie de gangster, une extrême violence perpétuelle, une folie qui était nourrie et qui n’avait jamais de fin. Jamais ! Dès qu’il quitta le navire, payant pour ses exactions, elle l’abandonna, parce que contrairement à lui, elle souffrait du syndrome de la loyauté aléatoire et il le vécut comme une trahison. Il la fit abattre de sa place au chaud en taule, dernier service que lui devait un pote avant qu’il ne raccroche pour de bon et se promette de devenir quelqu’un de bien pour ses gamines, orphelines de mère et qui en avaient assez vu.

Il était nerveux, il n’avait prévenu personne de sa sortie parce qu’il estimait que ce n’était pas la place de sa mère ou de ses petites, pourtant, elles étaient là, toutes les trois ainsi que ses petites sœurs. Toutes formèrent un cercle autour de lui et le serrèrent dans leurs bras alors qu’il tentait de leur rendre leur étreinte et leurs baisers. Il avait appelé ses filles autant que possible, il n’avait pas voulu rompre le lien mais il se demandait si Estrella n’avait pas toutes les raisons du monde de le détester alors que Reya ne le connaissait pas vraiment, elle n’était encore qu’une petite fille quand les flics avaient fait une descente musclée chez eux pour le coffrer. Ils vivraient tous chez la mère de Lio le temps qu’il refasse surface et qu’il reprenne sa vie en mains. « Non ! » « QUOI ? T’es revenu depuis 5 minutes et tu crois que tu vas décider pour moi de MA vie ? » Estrella était à l’université maintenant, cours qu’il lui payait tant bien que mal après avoir souscrit un crédit, parce qu’elle était la première de la famille à avoir cette chance et elle voulait tout gâcher en se tapant un de ces minables du barrio. « Fais bien attention à comment tu me parles, gamine ! T’es MA fille, je t’ai dit que tu n’irais pas à cette fête avec ce connard ! TU m’entends ? Tu sais ce qu’il fait pour vivre ? Il vend de la drogue, tu veux te retrouver en taule, comme moi ? Ou en cloque en l’attendant ? Tu vas à l’université, tu t’en sors et tu essaies de tout gâcher ! » « Il paraît que c’est de famille ! » Il s’en fallut de peu pour qu’elle se mange une raclée mais il serra la mâchoire et la toisa, serrant et desserrant les poings alors qu’elle reculait, sachant qu’il ne fallait pas tenter le diable. Elle tourna les talons, balançant qu’elle le détestait avant de claquer la porte de sa chambre. Il s’installa sous la fenêtre de sa chambre, dans le jardin, histoire de vérifier qu’elle ne sortirait pas mais elle n’en fit rien, elle était bornée et aussi impétueuse que sa mère mais elle obéissait, elle savait pertinemment comment ça tournerait. Quant à lui, il rendit une petite visite à Carlos, histoire de lui faire passer l’envie de tourner autour de sa fille.




***




« Tu peux rester prendre le petit-déjeuner si tu veux ! » lui glissa la rouquine, caressant son dos alors qu’il cherchait son boxer des yeux. « Non, je dois conduire ma fille à l’école. » « Han, un père attentionné, c’est tellement sexy ! » Il soupira, il ne se souvenait plus très bien des détails de sa soirée, seulement qu’il était entré dans ce bar et qu’il avait bu quelques verres avant qu’une salsa ne passe et qu’il invite la première pétasse qui passait par là, c’était peut-être elle, il ne se souvenait plus mais il s’en tapait, il ne comptait pas la rappeler, il ne comptait pas se créer un autre problème inutilement, il avait seulement besoin d’oublier un peu son quotidien et cesser de ressasser. Reya l’attendait devant la maison, l’air agacé, elle avait son projet de science entre les mains et il l’aida à le charger sur la banquette arrière. « Désolé, princesita, j’ai perdu le fil. On a même pas cinq minutes de retard, je vais faire vite, je te promets que ça ira ! » Elle lui pardonna à la première blague qu’il lui sortit sur le chemin de l’école et elle le serra dans ses bras avant de descendre, ça en faisait au moins une qui avait l’air heureuse de son retour, une autre bonne raison de rester dans le droit chemin.




***




Il se sentait floué. Personne ne lui avait dit que le fait de rester sur le droit chemin serait aussi dur et impliquerait autant de merdes. Parfois, c’était à se demander pourquoi se fatiguer et ne pas retourner à ses premières amours, l’héroïne en moins pour ne pas gaspiller du fric dont il aurait besoin pour ses filles. Quand il parcourait encore les rues du barrio, aucun abruti n’aurait osé s’approcher de l’une de ses filles ou il aurait fait en sorte de la foutre rapidement en cloque pour devenir intouchable. Et encore, il n’aurait pu avoir la certitude que ça le sauverait. Varo n’était pas connu pour sa patience ou pour être le roi de la miséricorde, bien au contraire, il ne s’était pas imposé grâce à son physique ou parce qu’il avait une grande gueule mais parce que ses coups de poings étaient dévastateurs et qu’il pouvait avoir la gueule en sang qu’il continuait à frapper, encore et encore. Sa règle était de ne jamais s’effondrer le premier. Cela lui avait valu pas mal de merdes et de cicatrices. Mais tout ça c’était du passé, ils avaient tous oublié, c’était le lourd tribut de ceux qui avaient le malheur de se faire enfermer pour une durée indéterminée. Tout le monde finissait par s’en branler de votre gueule et de roi de la rue, vous passiez à paria ou à oublié, il ignorait ce qu’il préférait mais il ne comptait pas laisser un petit connard lui imposer sa loi. Ca commençait comme ça et s’il laissait couler, cela tournerait mal, allez savoir ce que ces connards finiraient par inventer. Il ruminait, agitant sa batte alors que son débardeur ne dissimulait rien de l’homme d’autrefois et de celui qu’il demeurerait jusqu’à la fin. Raccrocher ne signifiait pas qu’il avait abandonné tous ses idéaux d’antan, ça ne voulait pas dire non plus qu’il crachait sur ce qu’il avait fait et pourquoi, il avait seulement tenu à offrir autre chose à ses filles, ce n’était pas un crime mais personne ne comprenait, tout le monde voyait la prison comme une médaille à porter fièrement, il trouvait simplement que c’était du gâchis, du temps de perdu inutilement. Pour lui, ce fut le coup de boule en pleine gueule dont il avait besoin pour prendre du recul, faire le point et reprendre sa vie en mains. Il aurait sans doute repris du service sans les gamines. Visiblement, l’une d’entre elles allait le contraindre à revenir dans la danse. Il ruminait, fou de rage que ses sacrifices soient considérés avec tant de mépris, dégoûté par l’ingratitude de son aînée et par son incapacité à se tenir tranquille. Elle se bornait à lui faire payer ses erreurs, comme sa propre mère l’aurait fait et ça le rendait malade.


« Ma mère la couvre parce qu’elle sait que si je l’apprends, je vais lui interdire de rentrer le weekend ! » cracha-t-il, sachant pertinemment qu’il ne pourrait jamais s’y résoudre. Il bousculait tout son emploi du temps dès qu’elle était de retour pour prévoir des journées en famille et passer parfois du temps rien qu’avec elle. Il avait l’impression qu’elle lui balançait en pleine gueule qu’il n’était qu’un père de merde et putain que c’était douloureux. « Ce qu’elle mérite ! » Ses mots tombent comme un couperet et sonnent comme une sentence et nous n’en sommes pas loin. Il ne pouvait se résoudre à lever la main sur elle ou sur Reya, elles étaient la prunelle de ses yeux et il ne voulait pas être de ce genre là mais elle ne lui donnait pas le choix. Ils arrivèrent dans un jardin où la fête battait son plein, où les gamines voulaient jouer les femmes et dont la virginité n’était sûrement plus qu’un vague souvenir, il ne les jugeait pas, il considérait seulement que des salopes de bas étage n’avaient rien à faire avec sa fille, parce que s’il se mettait en tête qu’Estrella était l’une d’entre elles, Dieu en personne ne pourrait la protéger de sa colère et des conséquences. Son cousin prit les devants pour éviter un bain de sang, il connaissait l’animal et savait très bien comment ça allait tourner. Garcia trépignait et finit par foncer quand on leur indiqua le jardin arrière. Il y avait là une tente qui allait probablement servir à tout le monde et qui avait l’air occupée. Son regard s’obscurcit alors que sa raison se mettait sur off pour laisser la frénésie faire tout le monde. Il se pencha, surprit sa fille en sous-vêtements sur ce fils de putain et l’agrippa par les cheveux pour l’en extirper, elle hurla, se débattit et il lui colla une gifle si violente qu’elle la ferma, sonnée. Son type sortit en caleçon, faisant le malin, jouant les gros bras, ne pouvant cacher sa trique de dalleux, ce qui n’arrangea pas l’état du padre. Il eut le malheur de proférer quelques menaces et en guise de réponse, le padre lui balança le dessus de la batte dans l’entrejambe en y mettant tout son cœur. Ca coupa le souffle de l’autre qui se plia en deux, tentant de faire passer la douleur. « Je t’ai dit de rester loin d’elle ! Je te l’ai dit, tu n’as pas écouté, je vais devoir prendre des mesures ! » « Non, papa, s’il-te-… » Il se tourna vers la gamine et la pointa de son index menaçant : « Toi, ferme ta putain de gueule, ton tour va venir ! » Choquée par la forme autant que par le ton, elle se tut immédiatement et dut assister à la castration de son cher et tendre. Il frappa encore et encore au même endroit, s’assurant qu’en plus de ne jamais pouvoir avoir d’enfants, il ne pourrait jamais plus s’en servir. Il fallait que ça serve de leçon à tous les autres ! Il finit par saisir Estrella par les cheveux pour approcher son visage du sien. « Ecoute-moi bien, si tu oses encore me prendre pour un con, je jure que je vais te donner une bonne raison de te comporter comme une pute en te mettant sur le trottoir ! » Elle fronça les sourcils, tenta de répliquer mais il la frappa avant qu’elle n’ait eu le malheur d’aggraver son cas. Les coups de poings plurent sur sa petite gueule d’insolente jusqu’à ce que Ruben l’invite au calme, sans lui, il l’aurait probablement tuée.


A bout de souffle, il jeta un regard à son cousin et le remercia d’un signe de tête et d’une tape sur l’épaule. Il regarda autour d’eux et admira l’œuvre de son cousin qui avait fait en sorte de maintenir brutalement tout le monde à distance. « Prends ses affaires dans la tente ! » demanda-t-il à Cortez en se baissant pour attraper le bras de la gamine et la mettre sur ses pieds alors qu’elle sanglotait. « Défais tes fringues, enfin ce qu’il en reste ! » « Non, papa, je t’en prie ! » « Ta gueule, fais-le » Elle s’exécuta sous le regard de l’assistance et quand ce fut fait, il lui fit signe du doigt. « Avance, on rentre maintenant ! » « Non, papa, je ne peux pas, je… » Elle croisa son regard et baissa les yeux avant de passer devant tandis qu’il suivait, toisant tout le monde. « Si je dois revenir ici encore une fois, je brûlerais tout et vous avec ! » Il poussa Estrella de sa batte, pour qu’elle avance, le but était simple. Tellement l’humilier que si elle rentrait encore, elle ne voudrait plus jamais mettre le nez dehors et se confronter à tout le monde. Il attendait qu’elle lui balance qu’elle le haïssait mais rien, elle se contentait de sangloter. « Tu voulais te comporter comme une salope, profite maintenant, PROFITE BIEN ! » Il était toujours en plein flirt avec les limites de la folie, un rien et il imploserait. C'était ça, être père, devenir fou dès qu'on menaçait l'intégrité de ce petit bout de soi qu'on offrait au monde.



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MessageSolo soy un bandido  - Al EmptyJeu 2 Fév - 1:20





Bienvenue à New York
Tu es désormais des nôtres!



Tu es désormais validé(e) et tu peux poster et voguer à ta guise sur le forum. Voici une liste de tous les topics qui peuvent t'être utiles pour que tu commences à jouer. Avant toute chose, tu dois recenser ton avatar par là

Pour essayer de trouver les liens qu'il te manque et rp au plus vite, tu as des coins appropriés où il te faudra créer tes propres topics où répertorier tes liens.

Tu meurs d'envie de rp mais tu n'as toujours pas trouvé quelqu'un pour un topic, n'hésite pas à passer par pour demander si quelqu'un est disponible et motivé ou par ici, si tu souhaites proposer une situation de jeu ou en choisir une parmi celles déjà proposées par les membres.

Mais comme tu viens d'arriver, il te faut avant tout un logement et faire répertorier ton métier afin de ne pas te faire chiper ta place si celles-ci sont limitées.

Pour le reste, il y a le flood, les jeux et toutes ces zones de détente pour partager avec les autres et vous sentir comme chez vous!


N'OUBLIE PAS QUE TU AS 10 JOURS, A PARTIR DE TA VALIDATION, POUR LANCER TON PREMIER RP


Bienvenue parmi nous, encore une fois








by SerialWords.




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MessageSolo soy un bandido  - Al EmptyVen 3 Fév - 16:43

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MessageSolo soy un bandido  - Al EmptyVen 3 Fév - 17:06

Solo soy un bandido  - Al 1060995999 Garde moi un lien sous le coude ma biche Solo soy un bandido  - Al 2884711755
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Florence Fleury-Arnaud
Florence Fleury-Arnaud
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MessageSolo soy un bandido  - Al EmptyVen 3 Fév - 22:50

Re-Bienvenue What a Face
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