La légende raconte que New York ne dort jamais. La nuit, les dandys et les noceurs chassent les femmes en manque d'affection, celles-là même qui, le jour, travaillent d’arrache-pied pour satisfaire des hommes d’affaires exigeants ou dépensent l’argent de leur époux fortuné en chaussures et vêtements griffés. C’est excessif, me direz-vous, peut-être même réducteur. Il n’empêche qu’il en faut beaucoup pour paralyser cette ville et ses habitants. Les exemples ne font pas légion, mais à cette courte liste peut désormais s’ajouter un black out. Les feux de signalisation sont en panne, les ascenseurs ne fonctionnent plus, les supermarchés sont assaillis de toute part, pillés pour la plupart, puisque les caisses ne fonctionnent plus. Les grandes institutions, elles bénissent leur système de sécurité, même si l’agitation est à son comble à l’hôpital. Les feux en panne, les accidents pullulent. Les secouristes ne savent plus où donner de la tête tandis que les familles de la patientèle se pressent à l’accueil pour être certaines que leur proche ne s’en ressentira pas, en particulier ceux qui, endormis sur la table, ont été confiés aux bons soins des chirurgiens. La tension est à son comble tandis que les autres, ceux qui sont là pour une visite de routine, se sentent gagner par la paranoïa, comme si une catastrophe menaçait d’arriver. Est-ce dû à l’enfermement ? Après tout, aucune issue n’est à envisager pour le moment. Les portes de sécurité ne s’ouvrent et puis, dehors, ça promet d’être la jungle.
• Pas de tour par tour.• Veiller à rester cohérent face à la situation !• Faites également attention à bien prendre en compte les actions des autres (ainsi que les paroles bien entendu) et de jouer le jeu.• Amusez-vous.
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