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Teni l'occhiuzzi i malandrineddu, i stu cori beddhu da mamm
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Cinzia Herrera
Cinzia Herrera
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CINZIA MARISA GAMBINO
( 23 ans ● Américo-Sicilienne ● journaliste ● FILLE DU DON DES DON DE COSA NOSTRA ● STATEN ISLAND ● REGULAR CITIZENS )


 ~ Pétillante, souriante, dynamique et spontanée, ses proches la comparent souvent à un véritable rayon de soleil qui tente, tant bien que mal, à vivre sa vie à fond. Elle ne rencontre, par ailleurs, aucune difficulté à se lier avec les autres qu’elle connait peu. Elle n’en demeure pas moins méfiante, ne révélant ses secrets et sa fragilité que si elle se sent en sécurité. ~ Hypersensible, elle feint l'indifférence pour cacher aux yeux du monde ses faiblesses. Elle adore faire croire qu’elle n’en a pas, d’ailleurs. Elle affronte tous ces problèmes à bras-le-corps et de préférence seule. Quoi de plus facile quand on sait qu’on ne l’est pas vraiment ? ~ Impulsive et surtout excessive, Cinzia a tendance à évoluer en fonction de son ressenti. Elle est très attachée à son instinct et bien qu’il lui arrive de la tromper, elle continue à s’y fier pour préserver ce soupçon de candeur qui, elle en est persuadée, est davantage un atout qu’un inconvénient. ~ Cinzia est une passionnée. Elle vit tout à son maximum, en ce compris l’amour. Elle n’en sait pas grand-chose, mais elle sait que ça ressemble à l’amitié. Or, elle est prête à tout pour les gens qu’elle aime sincèrement. Elle s’oublierait sans en souffrir. Elle ne sait pas aimer en demi-teinte et, amoureusement parlant, elle a besoin de tout sauf de routine de peur de s’ennuyer et donc de cesser de s’investir. Qu’importe si ça passe par le conflit, tant que c’est intense. ~ Elle tient son charme d’une sensualité effective dont elle n’a pas vraiment conscience. Il se manifeste par un geste élégant, un sourire timide ou plus franc, une main qui se perd sur le bras de l’autre. C’est une fille anormalement tactile pour une Sicilienne. ~ Contrairement à ce qu’on pourrait s’imaginer en la rencontrant, sa confiance en elle est toute relative dès qu’elle est en terrain inconnu. Son instinct de survie est cependant très développé. Elle se taira s’il le faut, cèdera aux compromis, mais ce n’est pas toujours sans conséquence. Elle est fière et ne cède pas facilement. ~ Finalement, Cinzia ne supporte pas le mensonge ou l’hypocrisie. Elle est d’ailleurs de nature honnête, loyale et sincère, même si ça  doit  provoquer des disputes. Entendre la vérité l’effraie plus que de la dire
~ Lorsqu’on grandit entourée d’autant de frères, jouer à la poupée ou apprendre la danse classique – malgré le désir farouche de sa mère - n’est pas toujours un réflexe. Au contraire, jouer au football ou s’inscrire dans un dojo pour apprendre la boxe thaïlandaise avec Luciano et Gabriele semblait beaucoup plus opportuns. Elle pratique encore aujourd’hui, pour le plus grand plaisir de sa famille, rassurée de savoir qu’elle est capable de se défendre si, d’aventures, sa surveillance était défaillante. ~ Cinzia a grandi avec sa mère pour seul modèle féminin. Comme dans toutes les familles italiennes, si le père décide, c'est la mère qui transmet la politique mafieuse et la culture sicilienne à ses enfants. Dès lors, elle sait parfaitement qu’elle devra se marier tôt ou tard. Les femmes célibataires sont tout, sauf honorables aux yeux de sa communauté. Elle évite d’y penser cependant. Elle estime qu’elle est encore le temps et reste persuadée que son père n’est pas vraiment pressé. ~ Si elle a refusé la rigueur des cours de danse – bien qu’elle adore se déhancher sur une piste de danse – elle joue du violoncelle depuis des années. Elle est plutôt douée. Elle aurait pu embrasser une carrière de professionnelle si Ettore Gambino n’avait pas estimé ce métier indigne d'elle. Il l'influença dans sa future carrière de journalisme. Elle l'a fait pour lui. Il l’a envoyée à l’étranger pour étudier et aujourd’hui, il l’a pistonnée pour qu’elle entre au Times. Elle s’en offusquerait si son besoin d’être parfaite aux yeux de son père n’était pas plus important que le reste. ~ Elle ne dit jamais qui elle est ou qui est sa famille. Elle en fait un secret. Elle n'a pas honte, elle ne veut pas être étiquetée. ~ Cinzia est ce qu'on pourrait appeler un accident. Elle n'était pas prévue. Toutefois, elle a été accueillie comme une bonne nouvelle. Son père la prend pour la Sainte Vierge et ses frères sont particulièrement fiers d'elle. Sa mère, par contre, la jalouse un peu, ce qui rend leur relation un peu malsaine quelquefois. ~ La relation qu'elle entretient avec Luciano et Gabriele est très fusionnelle, même s'il lui ment souvent pour la protéger. ~ Tout comme ses frères, Cinzia boit très peu (normalement), ne fume pas et ne se drogue pas ~ Chaque lundi, elle entame un régime. ~ Elle ne pourrait pas vivre sans musique et sans danser. C’est un besoin presque viscéral pour elle. ~ Elle a tatoué sur le haut de sa cuisse gauche une Trinacria sicilienne. ~ A 23 ans, elle est toujours vierge pour honorer sa famille et par choix également. Elle veut trouver LE bon, celui qui partagera sa vie jusqu’au bout, celui qu’elle idéalise. ~ Très croyante, elle va à l’Eglise tous les dimanches. ~ Sa relation avec Luciano et Gabriele est très fusionnelle. ~ Ecrire est presque une nécessité pour elle. Elle ne le fait pas seulement pour son métier. Elle le fait également parce que ça l’aide à y voir plus clair quand elle se sent perdue. ~ Elle dresse des listes pour toutes les raisons possibles et inimaginables : prendre une décision, préparer un évènement…



derrière l'écran
PSEUDO ● SALEM AGE ●  Teni l'occhiuzzi i malandrineddu, i stu cori beddhu da mamm 480849733  FILLE OU MEC ● F PRESENCE Régulière  DE QUEL PAYS TU VIENS ●De la Belgique, si si, la famille Tu nous connais d'où ? ● depuis longtemps SCENARIO OU INVENTE ● inventé AVATAR ● KAT DENNINGS CRÉDIT ● TUMBLR



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this is who you are

( in this story you are the hero )

Cinzia, elle dénombrerait avec amusement tous les avantages d’être la benjamine d’une fratrie constituée essentiellement de garçons. Personne n’osait l’embêter dans la cour de récréation. Ses copines les plus précoces s’inventaient des amours naissantes pour Luciano ou pour Gabriele lorsqu'elles étaient invitées à dormir dans la demeure d’Ettore. Elle avait toujours quelqu’un avec qui jouer ou à qui confier ses problèmes d’enfants. Elle n’était jamais seule, Cinzia. Elle pouvait même se permettre un brin d’arrogance quand la situation l’imposait. Les Gambino n’ont jamais manqué d’argent. Ses membres vécurent loin du besoin et de toutes préoccupations matérielles. La cadette était choyée, adorée et surtout protégée bien au-delà du bon sens commun. Malheureusement, pour la famille Gambino, l’expression dépasse largement sa stricte définition. Le bon sens, c’était apprendre à l’unique fille d'Ettorre à se tenir correctement, à se fier à son instinct, à se nourrir d’illusion et à approcher la perfection en toutes circonstances. Le bon sens, ça consistait à lui interdire de participer à l’anniversaire d’une copine de classe sous prétexte que ses parents étaient d’illustres inconnus qui le resteraient malgré les protestations de la gamine. C’était pouvoir recevoir chez soi, mais ne jamais quitter la maison sans être surveillé par des hommes d’honneur manquant parfois de discrétion. Le bon sens, c’était lui donner l'impression d'avoir le choix tout en plantant dans sa tête vide d'enfant les graines nécessaires à faire d’elle une future épouse respectable. Elle se souvient encore des longues discussions entre elle et sa mère, celles où son ainée lui expliquait en mots simples, mais percutants que la famille était la seule valeur sûre dans ce monde de fou. Il y avait la sienne aujourd’hui et celle qu’elle se construirait plus tard, lorsqu’elle serait une conjointe capable de prendre soin de son ménage et des siens. Évidemment, pour la fillette de l’époque, ces conseils étaient abstraits. Puis, peu à peu, la pression s’alourdit. Plus Cinzia devenait femme, plus les portes de sa maison se refermaient sur elle.

Il n'y avait pas de véritables barreaux à ses fenêtres, mais sortir avec une copine exigeait de la cadette des Gambino un éhonté mensonge. Fréquenter un jeune garçon de son âge provoquait chez les siens un tollé sans précédent. Cinzia était placée en quarantaine comme une pestiférée. Si elle osait protester, son Don Juan était tabassé jusqu’à ce qu’il jure qu’il ne la contacterait plus, jamais, et il obéissait sans demander leur reste. Les Gambino sont, par nature, plus persuasifs que le commun des mortels et elle ne fait l’exception. Adolescente, quand elle finit par comprendre que s’insurger lui serait moins profitable que la ruse, elle apprit à manipuler Ettore ave l’aide de Lucky et de Gaby. Pour les convaincre de s'opposer en secret à l’autorité parentale, elle usa de la méthode la plus féminine qui soit : un battement de cils, un balancement de menton, une supplique les mains jointes. Ils cédaient toujours et ils levaient sous conditions en cachette la surveillance de la benjamine. Leurs exigences étaient claires : pas de mensonges, pas d’alcool, pas de drogues ou de tabac, aucun rapport avec la gent masculine non plus. « On ne peut côtoyer la tentation que si on est prête  à l’affronter et à ne pas y céder. Un seul faux pas, et je balance tout » répétait Luciano de ce timbre monocorde qui précisait qu’il s’agissait d’une mise en garde et non d’une menace en l’air. En général, elle respectait les règles, consciente de la chance que lui offraient ses frères. Certaines amitiés influencent plus que d’autres cependant. Un soir, elle dérapa pour se laver de l’image de sainte qui lui collait à la peau auprès de ces copines de classe bien moins émerveillée par ce qu’elle représentait que durant l’enfance. Elle but tant et si bien qu’elle laissa le "mec" d’une de ses « mauvaises » fréquentations lui percer la langue. La sentence fut sans précédent : elle serait envoyée en pensionnat au Canada avec deux de ses cousins pour veiller sur elle. Elle ne reviendrait à New York qu’une fois diplômée et surtout, plus immaculée que jamais.

Dans l’absolu, toutes ces précautions n’étaient pas nécessaires. Elle n’avait jamais eu l’intention de brader sa virginité pour une histoire qui n’en serait pas vraiment une. Elle se méfiait des hommes, ses frères n’étant pas irréprochables. Luciano cumulait les aventures sans en faire l’étalage, mais elle savait.  Elle connaissait son opinion sur ces filles qui ont le cœur entre les jambes. La simple idée qu’on puisse utiliser le même genre de vocabulaire pour la qualifier élevait autour d’elle des barrières bien plus efficaces que toutes les mesures décidée par son père. Elle ne tenta pas d'être entendue cependant. Comment aurait-elle pu ? Elle aurait dû raconter qu’elle ignore tout de l'amour ou du désir, notion bien plus abstraite encore que la précédente. Ce manque de confiance, il la blessait plus que tout le reste. Il la prenait pour une idiote, tous autant qu’ils étaient. Malgré tout, lorsqu’elle foula le tarmac de New York avec, en poche, tout ce qui suffirait à rendre son papa fier, son comité d’accueil lui fit oublier toute sa rancœur. Elle adorait chaque membre de sa famille d’une affection inconditionnel. Ils étaient tout ce qu’elle avait toujours connu. Ils étaient un phare dans l’obscurité, chacun à leur manière. Elle parvint même à se convaincre qu’elle avait fait ses preuves et que la paranoïa d’Ettore se serait éteinte avec les années. Il n’en était rien. Après lui avoir offert sur un plateau d’argent une place dans un journal réputé, il exigea d’elle qu’elle se plie à toutes ces règles d’antan. Aucune sortie sans lui demander une autorisation qui ne venait que rarement. Il lui céda quelques libertés, mais une panoplie d’hommes d’honneur lui emboîtait le pas. Alors, déçue, elle reprit ses anciennes habitudes. Gaby refusa de se mêler à la combine, mais Luciano n’hésita pas, trop heureux d’avoir retrouvé sa petite sœur. Après tout, combien de fois n’avait-il pas fait le voyage jusqu’au Canada pour le simple plaisir de partager un café ? Souvent. Très souvent. Elle se rabibocha de visu avec ses vieux amis de jadis : Matthew, le pote homo que ses frères toléraient sans jamais le fréquenter, sous prétexte qu’il n’était pas u dene menace pour elle, mais bien pour eux. Gethin, sa bonhomie et sa bonne humeur également. Il déposa sur sa route Lyla, une jeune femme avec laquelle elle jouissait tant de points communs que leurs différences rendaient plus beaux encore, qu’elle avait l’impression étrange de la connaître depuis toujours. Leur complicité est née d’un rien, d’un geste, d’un sourire, d’une œillade appuyée durant une confidence. Aujourd’hui, Cinzia se demande comment elle ferait sans cette Mexicaine haute en couleur qui ne la juge jamais… Au contraire, elle comprend tant et si bien qu’elle aide à scier lentement mais sûrement les barreaux de sa prison dorée.



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Bienvenue à New York
Tu es désormais des nôtres!

   

   
   Tu es désormais validé(e) et tu peux poster et voguer à ta guise sur le forum. Voici une liste de tous les topics qui peuvent t'être utiles pour que tu commences à jouer. Avant toute chose, tu dois recenser ton avatar par là

   Pour essayer de trouver les liens qui te manquent et rp au plus vite, tu as des coins appropriés où il te faudra créer tes propres topics où répertorier tes liens.

   Tu meurs d'envie de rp mais tu n'as toujours pas trouvé quelqu'un pour un topic, n'hésite pas à passer par pour demander si quelqu'un est disponible et motivé.

   Mais comme tu viens d'arriver, il te faut avant tout un logement et faire répertorier ton métier afin de ne pas te faire chiper ta place si celles-ci sont limitées. Si tu es flic, secouriste, pompier ou même brigand, tu devrais passer dans ce topic

   Pour le reste, il y a le flood, les jeux et toutes ces zones de détente pour partager avec les autres et vous sentir comme chez vous!

   
   N'OUBLIE PAS QUE TU AS UNE SEMAINE, A PARTIR DE TA VALIDATION, POUR LANCER TON PREMIER RP
 

   Bienvenue parmi nous, encore une fois    


   

   



   
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