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La vida loca es morir hoy o mañana no importa | Mani
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Manuel Herrera
Manuel Herrera
ADMIN A LA MACHETTE MAIS EN DETENTE

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 La vida loca es morir hoy o mañana no importa | Mani Nur3

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Message La vida loca es morir hoy o mañana no importa | Mani EmptyMer 18 Nov - 9:13

 
Manuel Herrera
26 ans ● Americano salvadorien ● Homme d'Affaires et haut placé de la MS13 ● MS13 ● Bronx ● Wanted Dead or Alive


Il parle dans le but d’obtenir quelque chose, d’ailleurs, il estime que l’échec n’est pas une option. On peut le considérer comme étant un beau parleur et pourtant, il n’y a jamais une promesse qu’il ne tienne pas. C’est un homme dur parce qu’il a été élevé à la dure, il a ainsi peu de compassion pour les gens qui se laissent dépasser par les événements et se montrent faibles face à l’adversité. Il ne supporte pas qu’on lui impose quoi que ce soit avec lequel il n’était pas d’accord au préalable et il trouvera une manière ou une autre de vous le faire payer. Impulsif et inconséquent, il est capable de casser la gueule au premier connard qui l’a regardé de travers, c’est une question d’ordre des choses et de respect. Toute sa théorie se fonde sur la peur qu’il inspire et le respect qu’il suscite, si on piétine son honneur, on risque fort de goûter son poing. Il a un ego surdimensionné, sûrement est-ce parce qu’il est enfant unique mais il n’en reste pas moins qu’il a une haut opinion de sa petite personne. Il assume ses responsabilités, comme un homme et ne reportera jamais la faute sur qui que ce soit si l’honneur lui revient. C’est un macho complet, pour lui, une femme n’a pas à porter les armes mais à se contenter de porter des gosses, on ne lui demande pas de penser mais d’être là pour s’occuper de son homme, fin de l’histoire. Il ne supporte pas ces dévergondées qui ouvrent un peu trop leurs gueules et lui tiennent tête. Il n’hésitera pas à rabattre violemment le caquet de certaines d’un bon revers de la main si elles le méritent. C’est un homme juste, si on peut dire quelque chose de tel d’un homme qui travaille dans le crime organisé. Avisé et très intelligent, il a toujours de bonnes idées pour faire évoluer la MS et empêcher l’organisation de sombrer. Il est sans doute un peu cinglé, ayant un rapport assez particulier à la violence. Buter son premier homme à 13 ans a indubitablement laissé des traces et son inconséquence est une des premières conséquences de ce rite de passage. Il n'a qu'une parole, ses promesses valent de l'or, elles sont paroles d'Evangile. Il est également d'une loyauté hors du commun, contrairement à beaucoup de gens.
Il adore danser, même si ça fait un peu maniéré pour un mec, en Amérique latine c’est par la danse qu’on s’exprime et on peut dire qu’il maîtrise complètement ce moyen de communication – Il a l’habitude de fumer joint sur joint quand il est en soirée ou en période de stress, ça le détend et n’embrume aucunement ses idées et son intelligence  – Il fume beaucoup trop pour le bien de ses poumons – Grand sportif, il fait de la boxe depuis des années, c’est un grand amateur de tous les sports de combat, tant que ça lui permet d’extérioriser ce besoin de violence – Il a un appétit sexuel insatiable et s’il a promis de n’aimer qu’une seule femme, ça ne l’empêche pas de se partager entre plusieurs d’entre elles, l’assurance d’être satisfait, non ?



derrière l'écran
PSEUDO ● Daturagnagna AGE ● 27 ans FILLE OU MEC ● F  PRESENCE 7/7  DE QUEL PAYS TU VIENS ● From Hell Tu nous connais d'où ? ● Fonda bitch SCENARIO OU INVENTE ● Scénar  AVATAR ● Adelaide KaneCRÉDIT ● Tumblr et Datura



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Manuel Herrera
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Message La vida loca es morir hoy o mañana no importa | Mani EmptyMer 18 Nov - 9:14





this is who you are

( in this story you are the hero )

Le problème quand on est un Herrera c’est que l’on doit grandir dans l’ombre de Rafael, celui qui fit de ce nom banal et fortement répandu dans tous les pays de l’Amérique latine, quelque chose qui allait au-delà du simple patronyme. D’abord membre de gangs sans envergure, il sut se servir de son culot et de son sens inné des affaires pour monter rapidement en grade et se faire une place au soleil. En l’espace de quelques années, il avait la main mise sur une bonne partie de l’Amérique latine, construisant un véritable empire avec intelligence et mesure, ne sachant que trop bien ce qu’il advenait des adeptes de la démesure et de la grandiloquence. Cet empire, il voulait le livrer intact à sa progéniture. Il n’eut qu’un fils : Manuel. Il fut désigné tout naturellement comme l’héritier de tout ce qu’avait construit son père et on ne pouvait pas dire qu’il y avait de la place pour des aspirations personnelles. Si on lui ficha la paix une bonne partie de son enfance, le laissant sou la coupe de sa mère et de sa grand-mère paternelle, son père décréta qu’à douze ans il était déjà un homme et qu’un rite de passage était nécessaire pour marquer le coup. Il fut envoyé dans une cliqua du centre de la capitale, plongé dans un univers qu’il ne connaissait pas même si son père avait toujours mis un point d’honneur à lui en faire baver et à rien lui épargner pour le préparer à ce moment.  On le forma comme tous les autres, lui fourrant un flingue entre ses mains tremblantes et mal assurées et on lui apprit comment survivre. Son père avait omis de préciser que certains de ses hommes veillaient sur lui à distance, il crut être abandonné et finit par prendre son courage à deux mains. Il lui en fallut un sacré paquet pour ne pas fondre en larmes et se laisser aller à la panique mais il finit par se résigner. Il se contentait de peu et apprit le respect des aînés, le respect des supérieurs hiérarchiques, le respect pour ces gens qui vivaient chaque jour comme si c’était le dernier et qui n’avaient aucune autre alternative que celle-là. La première année se déroula sans gros accroc, il y eut de nombreux affrontements pour des questions de territoire et quelques morts mais il trouvait toujours le moyen d’échapper au pire, jusqu’à ce qu’on exige de lui une preuve de son allégeance à la cause, une preuve suprême de loyauté. Il n’avait que treize ans et il lui avait fallu trouver un ennemi suffisamment imposant pour faire honneur à son nom, à son père et à son gang. Un gosse de seize ans affilié à la 18th street fit l’affaire. Il le choppa dans un coin et lui éclata le pif à coup de crosse avant de siffler ses compères pour qu’ils viennent l’aider à le transporter au QG. Ce fut sous le regard de tous qu’il lui logea une balle dans la tête, endoctriné et persuadé que s’il ne lui avait pas pris sa vie, ce fils de pute aurait fini par lui prendre la sienne. Pour un peu, il en serait venu à lui arracher le cœur pour y mordre et ingérer la force vitale du corps gisant à ses pieds. Pour tout remerciement, il eut le droit à la raclée de sa vie. Il était désormais de la MS doublé d’un vrai homme, des dents en moins, des contusions en plus mais il ne pouvait retranscrire avec des mots ce qu’il ressentit à ce moment-là.

Cette immersion n’eut pour d’autre but que d’apprendre le respect de chaque maillon de la chaîne, il était désigné pour diriger, pour maintenant les liens entre le cartel de son père et la MS13 et pour se faire, il devait reconnaître la valeur de chaque homme, non pas à sa quantité d’argent ou à son air aimable mais à la manière et au cœur qu’il mettait à défendre sa vie et ses idéaux quand la situation l’imposait. Son père exigea qu’il reste dans les rues de San Salvador jusqu’à ses seize ans avant d’être autorisé à réinvestir la maison familiale, avec beaucoup de mal. Il dut dire au revoir à cette nouvelle famille qu’il s’était construit, à ces hommes qui étaient devenu ses frères et dont il était plus proche qu’il ne le serait jamais de son père. Les quatre années suivantes furent consacrées à lui faire rattraper son retard scolaire et à lui farcir suffisamment le crâne de choses importantes pour qu’il ne se fasse jamais baiser comme un bleu dans le business. Il ne faisait que ça, le tout entrecouper de sport et de préparation physique quand il ne partait pas en mission pour le compte de son père. Quand celui-ci décréta que son fils unique était apte à le servir décemment, Mani fut envoyé à New York pour remettre de l’ordre mais avant tout observer. Les types des cliquas new yorkaises n’avaient pas grand-chose en commun avec les pauvres gens de San Salvador, du moins au premier abord. Il ne s’imposa pas, se contentant d’évoluer à leur côté et de les dépanner quand ils en avaient besoin, observant et relevant les faiblesses de l’organisation sans jamais rien leur reprocher. Il n’eut pas à débarquer en terrain conquis, il savait que son jeune âge les braquerait plus qu’autre chose, il se mêla seulement à eux jusqu’à ce qu’ils réalisent tous que c’était lui le chef et personne d’autre. Il sut se rendre indispensable et susciter leur respect inconditionnel. Partial, il n’épargnait personne et savait offrir sa reconnaissance aux méritants. Si on se foutait de sa gueule, on pouvait faire ses prières et attendre qu’il ne vous fauche comme la mort en personne. Ca fait maintenant près de dix ans qu’il est à New York et considéré comme un investisseur plein de pognon par les uns et comme le renouveau de la MS par les autres. Il évite les flics et la justice au maximum pour ne pas se faire expulser, de toute façon, les preuves le concernant disparaissent toujours. Sa mission est d’élever la MS au même rang que la Cosa Nostra, il est déjà parvenu à remettre de l’ordre dans les rangs et à accroître les bénéfices. Son père avait de quoi être fier, mais l’était-il vraiment ? Le serait-il un jour ?


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***


Le clivage culturel ne fut pas un réel problème, sans doute éteint par le vent de liberté qui soufflait sur sa vie depuis qu'il était à New York. Son père lui laissait carte blanche pour gérer l'organisation à sa guise et surtout, pour s'assurer que sa progéniture était à la hauteur de ses espoirs. Tant que le profit et l'ordre étaient au rendez-vous, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Il ne manquait jamais de lui rendre visite et de le mêler à ses propres projets de grandeur, comme pour impliquer encore un peu plus son fils dans la construction de l'héritage familial. L'association avec Cosa Nostra en faisait partie. Rafael Herrera avait la certitude que les deux parties avaient beaucoup à tirer de pareille alliance. Des armes et de la drogue à profusion, tout cela à des prix imbattables et en quantité illimitée, ça ne se refusait pas. Pour les uns, ce serait un deal juteux d'un poitn de vue économique, pour les autres, il était question de s'implanter un peu plus dans New York, de faire partie du décor et de compter davantage à une échelle bien plus grande. S'allier à Cosa Nostra, c'était une façon comme une autre de sécuriser sa position et de se faire de nouveaux amis dans bien des domaines et dans bien des institutions. La communauté latino était nombreuse et était de plus en plus visible à des postes clés de la société américaine mais cela restait trop anecdotique pour qu'un homme d'affaire comme le patriarche Herrera s'en contente et décide de baser son empire sur des prévisions. Il pouvait continuer à régner en maître sur l'Amérique latine sans vraiment se soucier du nord et des profits à y faire mais cela manquait d'ambition et d'envergure et cela ne lui ressemblait pas. Il voulait toucher le plus grand nombre, écouler sa marchandise et vendre son nom, se rendre indispensable et nécessaire, comme les siciliens avaient appris à le faire. S'étendre et se développer, les ambitions de toujours d'un Rafael vieillissant qui comptait bien léguer un royaume à son fils. Il n'avait pas opté pour la dureté par cruauté mais par nécessité. La réussite attisait la jalousie et l'envie, il fallait être armé pour l'affronter et en venir à bout. Et les larmes n'arrêtaient pas les envieux, pas plus que les supplications et de toute façon, aucun Herrera ne suppliait. C'était une insulte à son nom et à toute sa famille. Il avait fait de son fils une machine de guerre, un homme d'affaires aux épaules solides et à l'oeil vif. Il omettait bien volontiers le côté psychopathe et détraqué de celui-ci, il y avait forcément des inconvénients à pareille éducation mais sa dévotion n'avait d'égale que sa loyauté, ça méritait un peu de laxisme quant à certaines de ses comportements. Le but n'était pas qu'il se fasse passer pour un enfant de choeur mais qu'on le respecte autant qu'on le craigne et Manuel Herrera n'avait besoin de personne pour ça.

« Ettore Gambino, ça te parle ? » Un test comme chaque fois que le vieux salvadorien ouvrait la bouche.Il voulait vérifier qu son fils avait pris toutes ses précautions et surtout, avait agi comme il lui avait appris à le faire. Il devait connaître les noms et les visages de ses potentiels ennemis ou associés. Il avait été à bonne école, il devait se souvenir qu'on ne débarquait jamais où que ce fût la fleur au fusil, à moins de vouloir y rester. « Don des dons. Un homme qu'on préférerait compter parmi ses alliés mais difficilement approchable. » Un fin sourire étira les lèvres du père, il fallait bien le connaître pour interpréter la lueur qui s'agitait dans son regard et qui s'apparentait à de la bienveillance et à une once de fierté. « Il s'avère que je connais quelqu'un qui connais quelqu'un... Si on veut grandiir, on a besoin d'un allié de poids, Seuls, on est forcément limités, Les siciliens sont ceux qui nous ressemblent le plus, à bien des égards, et ils ont beaucoup à nous apprendre. » « Ils possèdent aussi une grosse partie de la ville, sont partout sans y être, Leur discrétion force le respect. Si accord il y a, il faudra que les choses se fassent progressivement, La MS n'est pas prête pour un changement trop radical. Pas nos hommes qui évoluent dans la rue en tout cas. » « Je sais. C'est pour ça que tu m'accompagneras, pour trouver comment habituer tes hommes à l'idée. Proposer des affaires en commun pourrait être une solution à envisager. » Le salvadorien acquiesça, essayant d'imaginer quel genre de business pourrait intéresser des types qui semblaient avoir le monde à leurs pieds.


***
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L'entente avec Luciano fut immédiate. Ils semblaient faits du même bois et partager la même vision de la vie. Amenés à se voir régulièrement, ils sympathisèrent à la vitesse de la lumière et furent bientôt inséparables. Ils ressemblaient à des amis de toujours, ne manquant jamais une occasion de se voir et de célébrer ce moment. Lors de l'un de leurs voyages où Mani avait décidé de lui montrer la fête à la salvadorienne, il finit par retourner se perdre pour la nuit dans les bras d'une Rosa éplorée qu'il avait laissé sur le carreau dès que l'ordre tomba pour qu'il aille s'occuper de ce qu'il se passait à NY. Il avait sérieusement envisagé de l'amener jusqu'à ce qu'il apprenne ses deux visites à la clinique pour des avortements express. Il ne l'aimait plus comme avant, sans doute à cause des années qui s'étaient écoulées depuis leur rencontre et de la lassitude qui s'installait toujours quand les choses manquaient de spontanéité et de passion, mais parce qu'elle l'avait toujours soutenu, principalement dans les pires moments, il l'avait soigneusement gardée près de lui, par reconnaissance et une drôle de forme de loyauté. Savoir qu'elle avait tué leurs enfants effaça l'ardoise et il quitta le Salvador sans un regret. S'il débarqua chez elle à l'improviste, ce fut mu par le trop plein de tequila et d'herbe et ce besoin de renouer avec certaines habitudes lui donnant l'impression que rien ne changerait jamais. Heureusement pour elle, il trouva son lit vide et les photos d'eux n'avaient pas bougées de l'endroit où elle vivait. Bon prince, il lui avait laissé l'appartement qu'il lui avait offert, c'était tout ce qu'il lui resterait et il espérait que ça lui rappellerait, jour après jour, le prix qu'elle payait pour sa trahison. Maintenant, elle n'était plus que son exutoire occasionnel, celle vers qui il revenait par la force de l'habitude mais qui le dégoûtait un peu plus à chaque fois. Elle n'avait plus aucune saveur, plus aucun intérêt. Ce matin-là, en quittant son appartement, il se promit de ne plus jamais y mettre les pieds. Terry l'attendait à NYC, ainsi que toutes les belles plantes qu'il pouvait ramasser chaque fois que le cœur lui en disait. Fonder une famille était un projet lointain dont il ne voulait surtout pas entendre parler,



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Message La vida loca es morir hoy o mañana no importa | Mani EmptyMer 18 Nov - 19:43





Bienvenue à New York
Tu es désormais des nôtres!


Tu es désormais validé(e) et tu peux poster et voguer à ta guise sur le forum. Voici une liste de tous les topics qui peuvent t'être utiles pour que tu commences à jouer. Avant toute chose, tu dois recenser ton avatar par là

Pour essayer de trouver les liens qui te manquent et rp au plus vite, tu as des coins appropriés où il te faudra créer tes propres topics où répertorier tes liens.

Tu meurs d'envie de rp mais tu n'as toujours pas trouvé quelqu'un pour un topic, n'hésite pas à passer par pour demander si quelqu'un est disponible et motivé.

Mais comme tu viens d'arriver, il te faut avant tout un logement et faire répertorier ton métier afin de ne pas te faire chiper ta place si celles-ci sont limitées. Si tu es flic, secouriste, pompier ou même brigand, tu devrais passer dans ce topic

Pour le reste, il y a le flood, les jeux et toutes ces zones de détente pour partager avec les autres et vous sentir comme chez vous!


N'OUBLIE PAS QUE TU AS UNE SEMAINE, A PARTIR DE TA VALIDATION, POUR LANCER TON PREMIER RP


Bienvenue parmi nous, encore une fois







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